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Ne l'écoutez pas, elle ment
17 octobre 2007

Mon chéri

amour

Je suis tellement amoureuse. Déjà un an et huit petits mois... C'était tellement bien. Je prie chaque soir je n'sais qui pour que ça continue ; pour que tu m'aimes, toujours aussi fort, que tu me trouves toujours aussi jolie malgré tout ce qui ne va pas chez moi. Je suis trop bien avec toi !

Non, il ne me comprend pas toujours. Non, on ne se dispute jamais. J'aime qu'on soit un couple fusionnel, qu'on se boude cinq minutes pour s'embrasser avec fougue par la suite... J'aime vraiment quand il me fait l'amour, j'aime sa tendresse, son corps, sa bouche, son caractère un peu grognon. Merde, je suis heureuse avec lui. C'est bien, c'est toujours bien, depuis qu'il habite à Toulon.

Je me souviens de ces longs mois d'attente. Quand j'attendais mon prince charmant, qui devait descendre de Lille pour une ou deux semaines de plaisir intense et qu'il fallait qu'il reparte. Qu'il fallait qu'il me laisse seule face aux autres ! J'étais trop malheureuse, quand il partait. Je pleurais des jours entiers, j'avais le ventre constament tordu ; je ressentais ma douleur dans tout le corps. Heureuse d'être aimée, malheureuse qu'il ne soit pas là.

Je n'ai toujours vécu que pour l'amour. Depuis toute petite, il fallait que l'on m'aime, un petit garçon, une petite fille, je voulais avoir un amoureux ou une amoureuse... Je ne pouvais pas passer une année sans choisir une personne en espérant qu'elle me choisisse aussi. Toujours. Toujours prête à donner de l'amour, de la tendresse, de l'affection. Mais ça, personne ne semblait le voir...

Heureusement il y a Lui, pour qu'on forme un joli Nous. Ah... Je n'ai pas envie de voir d'autres personnes que lui ; quelqu'un peut-il le comprendre ?

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Commentaires
N
C'est peut être cucul, mais je te souhaite énormément de bonheur avec ton homme qui te comble jour après jour. <br /> <br /> C'est beau à voir et ça me laisse envieuse :) <br /> (Quoi que je n'ai pas à me plaindre) <br /> <br /> Et de voir que votre histoire a tenu tout ce temps. Avec cette put*in de distance. Tu me redonnes un peu le courage !
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